Le directeur de l’Académie Régionale de l’Education et de la Formation (AREF) de Tanger-Tétouan-Al Hoceima, Mohamed Aouaj, a affirmé que les examens du baccalauréat se dérouleront suivant le calendrier prévu par le Ministère de l’Education nationale, en respectant les mesures préventives et en assurant l’égalité des chances entre les candidats.
Dans un entretien accordé à la MAP, M. Aouaj a indiqué que le ministère a annoncé la reprise des cours présentiels début septembre pour tous les niveaux, le déroulement de l’examen de la deuxième année du baccalauréat au cours du mois de juillet alors que celui de la première année est reporté au début du mois de septembre, faisant savoir que cette opération a nécessité la prise de plusieurs mesures, à commencer par le choix des centres d’examen et leurs capacités d’accueil afin de répondre à deux impératifs essentiels, à savoir l’égalité des chances en termes de conditions de passation et la prise de toutes les précautions pour préserver la santé des candidats, des enseignants et de tous les intervenants.
Les examens débuteront le 1er juillet avec l’examen régional pour les candidats libres, suivi de l’examen national pour les scolarisés selon les branches (Lettres et Sciences), ensuite la session de rattrapage de façon à annoncer les résultats le 29 juillet, ce qui marquera la dernière étape de l’examen du baccalauréat considéré comme un moment très important pour le système éducatif national et une opportunité de valorisation de tous les efforts consentis, a-t-il expliqué.
Afin d’atteindre les objectifs précités, M. Aouaj a souligné que plusieurs mesures et dispositions préventives dans les centres d’examen ont été prises afin de préserver la santé des candidats, notamment en limitant à 10 le nombre maximum des candidats dans une salle d’examen, et ce pour garantir la distance de sécurité, tandis que les établissements scolaires mettront à la disposition des candidats des masques et d’autres moyens de protection, outre les mesures préventives relatives aux élèves internes et au transport des candidats.
L’expérience de l’enseignement à distance, qui a été entamée durant une conjoncture exceptionnelle, deviendra, après la pandémie et le retour à la situation normale, une composante essentielle à prendre en compte dans le projet d’établissement pour l’école marocaine, a-t-il estimé.
Pour le responsable, cette composante permettra sans doute de réduire les disparités et de consolider le concept d’égalité des chances, notamment pour certains bénéficiaires qui ne peuvent se déplacer en raison de certaines contraintes.
Dans certains cas, l’enseignement à distance sera non seulement une opération complémentaire, mais essentielle pour la gestion de plusieurs dossiers, la réduction des dépenses et la rationalisation des résultats, a-t-il conclu.
Le directeur de l’Académie Régionale de l’Education et de la Formation (AREF) de Tanger-Tétouan-Al Hoceima, Mohamed Aouaj, a affirmé que les examens du baccalauréat se dérouleront suivant le calendrier prévu par le Ministère de l’Education nationale, en respectant les mesures préventives et en assurant l’égalité des chances entre les candidats.
Dans un entretien accordé à la MAP, M. Aouaj a indiqué que le ministère a annoncé la reprise des cours présentiels début septembre pour tous les niveaux, le déroulement de l’examen de la deuxième année du baccalauréat au cours du mois de juillet alors que celui de la première année est reporté au début du mois de septembre, faisant savoir que cette opération a nécessité la prise de plusieurs mesures, à commencer par le choix des centres d’examen et leurs capacités d’accueil afin de répondre à deux impératifs essentiels, à savoir l’égalité des chances en termes de conditions de passation et la prise de toutes les précautions pour préserver la santé des candidats, des enseignants et de tous les intervenants.
Les examens débuteront le 1er juillet avec l’examen régional pour les candidats libres, suivi de l’examen national pour les scolarisés selon les branches (Lettres et Sciences), ensuite la session de rattrapage de façon à annoncer les résultats le 29 juillet, ce qui marquera la dernière étape de l’examen du baccalauréat considéré comme un moment très important pour le système éducatif national et une opportunité de valorisation de tous les efforts consentis, a-t-il expliqué.
Afin d’atteindre les objectifs précités, M. Aouaj a souligné que plusieurs mesures et dispositions préventives dans les centres d’examen ont été prises afin de préserver la santé des candidats, notamment en limitant à 10 le nombre maximum des candidats dans une salle d’examen, et ce pour garantir la distance de sécurité, tandis que les établissements scolaires mettront à la disposition des candidats des masques et d’autres moyens de protection, outre les mesures préventives relatives aux élèves internes et au transport des candidats.
L’expérience de l’enseignement à distance, qui a été entamée durant une conjoncture exceptionnelle, deviendra, après la pandémie et le retour à la situation normale, une composante essentielle à prendre en compte dans le projet d’établissement pour l’école marocaine, a-t-il estimé.
Pour le responsable, cette composante permettra sans doute de réduire les disparités et de consolider le concept d’égalité des chances, notamment pour certains bénéficiaires qui ne peuvent se déplacer en raison de certaines contraintes.
Dans certains cas, l’enseignement à distance sera non seulement une opération complémentaire, mais essentielle pour la gestion de plusieurs dossiers, la réduction des dépenses et la rationalisation des résultats, a-t-il conclu.