La tendance est au coaching, à la PNL et au développement personnel ! En effet, les recruteurs s’intéressent de plus en plus aux traits de personnalité des candidats ainsi qu’à leur savoir-être, autant qu’à leurs diplômes et leurs expériences … sinon plus ! Désormais, les soft skills font, non seulement partie des critères de sélection lors des entretiens d’embauche, mais permettent surtout de fluidifier votre quotidien professionnel. Heureusement qu’il ne s’agit pas de dons dont seuls quelques personnes jouissent, puisque, même sans jamais les avoir apprises en formation, tout le monde en possède. Il suffit d’apprendre à les détecter et à les développer ! Soft Skills, kézako ? Souvent définies par opposition aux « hard skills » qui englobent les compétences techniques mesurables, les « soft skills » désignent plutôt les qualités orientées vers les interactions humaines. Elles peuvent s’exprimer à travers des qualités personnelles comme interpersonnelles. Le qualificatif « soft », c’est-à-dire « douce », vient de la caractéristique informelle et diffuse de cette forme de compétences, contrairement aux hard skills qui naissent d’un apprentissage académique et dont la preuve est matérialisée sous forme de notes, de certificats ou de diplômes. En effet, il s’agit de compétences que l’on n’apprend pas à l’école et que l’on utilise, pourtant, tous les jours ! Elles sont souvent innées et en demandent qu’à être développées. Soft Skills :
Les soft skills sont souvent interdépendantes. Travailler une compétence en particulier peut avoir un impact sur l’amélioration d’une autre.
L’ingénierie est une spécialité qui attire de nombreux bacheliers et étudiants. Mais où effectuer ce type de formation : au Maroc ou en France ?