
Les retours recueillis auprès d’entreprises, d’étudiants et d’écoles indiquent que :
seulement une minorité d’entreprises dispose d’une politique de stage réellement formalisée ;
plus de la moitié fonctionnent avec des pratiques non uniformes selon les filiales ou les managers ;
la grande majorité n’a pas de convention-cadre active avec les établissements d’enseignement supérieur.
Conséquence : des expériences très variables, dépendantes davantage de la culture interne ou du tuteur que d’un cadre officiel.
Dans la plupart des grandes organisations, le stage de fin d’études est perçu comme : un moyen d’identifier les profils prometteurs, un test d’adaptation culturelle, un pré-recrutement naturel.
Cependant, les observations terrain montrent que :
près d’un stagiaire sur deux se voit confier une mission mal définie au départ ;
une majorité d’objectifs pédagogiques ne sont pas validés avec les écoles ;
près de trois stagiaires sur quatre ne bénéficient d’aucun encadrement structuré de la part de leur tuteur.
Le manque de cadrage limite la capacité des entreprises à évaluer correctement les compétences et le potentiel des jeunes diplômés.
L’intégration d’un stagiaire joue un rôle majeur dans la réussite du stage.
Mais selon les retours analysés par Etudiant.ma :
Moins d’un tiers des stagiaires bénéficient d’un véritable onboarding (présentation des équipes, des outils, des méthodes de travail) ;
La quasi-totalité des suivis restent informels, sans outils structurés ;
Seule une petite proportion des entreprises suit les progrès du stagiaire via un tableau de bord clair.
Cette absence de suivi formel nuit à l’expérience du stagiaire et réduit la capacité de l’entreprise à identifier les profils à fort potentiel.
Les tendances nationales mettent aussi en évidence que :
Seule une faible part des entreprises conserve une base de données organisée des anciens stagiaires ;
La majorité ne réalise ni enquête de satisfaction ni bilan pédagogique ;
Moins d’un stagiaire sur dix, en moyenne, se voit proposer un contrat à la fin de son PFE.
Le Maroc dispose pourtant d’un vivier riche de jeunes talents, mais la capitalisation reste insuffisante pour transformer le stage en réel accélérateur de recrutement.
Le stage PFE pourrait devenir un pilier central de la stratégie talents des entreprises marocaines.
Mais pour cela, il est nécessaire de : formaliser les politiques de stage, structurer le rôle des tuteurs, renforcer la coopération écoles–entreprises, digitaliser le suivi, capitaliser sur les données issues des parcours stagiaires.
Les organisations capables d’opérer cette transformation bénéficieront d’un avantage clair dans l’attraction et la fidélisation des jeunes diplômés.
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Les retours recueillis auprès d’entreprises, d’étudiants et d’écoles indiquent que :
seulement une minorité d’entreprises dispose d’une politique de stage réellement formalisée ;
plus de la moitié fonctionnent avec des pratiques non uniformes selon les filiales ou les managers ;
la grande majorité n’a pas de convention-cadre active avec les établissements d’enseignement supérieur.
Conséquence : des expériences très variables, dépendantes davantage de la culture interne ou du tuteur que d’un cadre officiel.
Dans la plupart des grandes organisations, le stage de fin d’études est perçu comme : un moyen d’identifier les profils prometteurs, un test d’adaptation culturelle, un pré-recrutement naturel.
Cependant, les observations terrain montrent que :
près d’un stagiaire sur deux se voit confier une mission mal définie au départ ;
une majorité d’objectifs pédagogiques ne sont pas validés avec les écoles ;
près de trois stagiaires sur quatre ne bénéficient d’aucun encadrement structuré de la part de leur tuteur.
Le manque de cadrage limite la capacité des entreprises à évaluer correctement les compétences et le potentiel des jeunes diplômés.
L’intégration d’un stagiaire joue un rôle majeur dans la réussite du stage.
Mais selon les retours analysés par Etudiant.ma :
Moins d’un tiers des stagiaires bénéficient d’un véritable onboarding (présentation des équipes, des outils, des méthodes de travail) ;
La quasi-totalité des suivis restent informels, sans outils structurés ;
Seule une petite proportion des entreprises suit les progrès du stagiaire via un tableau de bord clair.
Cette absence de suivi formel nuit à l’expérience du stagiaire et réduit la capacité de l’entreprise à identifier les profils à fort potentiel.
Les tendances nationales mettent aussi en évidence que :
Seule une faible part des entreprises conserve une base de données organisée des anciens stagiaires ;
La majorité ne réalise ni enquête de satisfaction ni bilan pédagogique ;
Moins d’un stagiaire sur dix, en moyenne, se voit proposer un contrat à la fin de son PFE.
Le Maroc dispose pourtant d’un vivier riche de jeunes talents, mais la capitalisation reste insuffisante pour transformer le stage en réel accélérateur de recrutement.
Le stage PFE pourrait devenir un pilier central de la stratégie talents des entreprises marocaines.
Mais pour cela, il est nécessaire de : formaliser les politiques de stage, structurer le rôle des tuteurs, renforcer la coopération écoles–entreprises, digitaliser le suivi, capitaliser sur les données issues des parcours stagiaires.
Les organisations capables d’opérer cette transformation bénéficieront d’un avantage clair dans l’attraction et la fidélisation des jeunes diplômés.
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