Une convention-cadre relative à la création d'un institut de formation professionnelle dans les métiers de l'industrie pharmaceutique a été signée, vendredi à Casablanca. Signée par le ministre de l'Education nationale, de l'enseignement supérieur, de la formation professionnelle et de la recherche scientifique, Saaid Amzazi, le ministre de l'Industrie, du commerce, de l'économie verte et numérique, Moulay Hafid Elalamy, le président de la CGEM, Chakib Alj et le président de la FMIIP, Ali Sedrati, cette convention répond à l'objectif d'améliorer la formation professionnelle axée sur les métiers de l'industrie pharmaceutique tout en rapprochant l'offre de formation des besoins en compétences du secteur.
"La mise en place de cet institut va renforcer le dispositif des établissements de nouvelle génération, déjà mis en place dans le cadre du partenariat public-privé dans les secteurs à forte valeur ajoutée, tels que l'aéronautique, l'automobile, le textile habillement et les énergies renouvelables, et qui ont montré leur efficacité en matière de l'adéquation formation emploi", a affirmé M. Amzazi lors de la cérémonie de signature de ladite convention cadre.
De son côté, M. Elalamy a fait savoir que ce partenariat porte sur la réalisation d'un projet fort important visant la formation des jeunes désirant faire carrière dans l'industrie pharmaceutique. "C'est un secteur prometteur qui regorge de débouchés, grâce au savoir-faire de nos entreprises, à la qualité de la production nationale et à la proximité avec les marchés potentiels", a-t-il noté.
Pour sa part, M. Alj a indiqué que la signature de cette convention est une action concrète qui s'inscrit dans la vision de SM le Roi Mohammed VI concernant la protection sociale. En effet, a-t-il soutenu, ce nouvel institut contribuera, notamment à la consolidation des compétences médicales pour répondre à une demande, qui augmentera à un rythme rapide avec la mise en œuvre de ce chantier social et sociétal d'envergure. Il permettra aussi de former en adéquation avec les besoins de ce secteur vital et d'avoir les compétences nécessaires pour qu'il puisse encore mieux s'exporter vers d'autres pays, a ajouté le président du Patronat.
Une convention-cadre relative à la création d'un institut de formation professionnelle dans les métiers de l'industrie pharmaceutique a été signée, vendredi à Casablanca. Signée par le ministre de l'Education nationale, de l'enseignement supérieur, de la formation professionnelle et de la recherche scientifique, Saaid Amzazi, le ministre de l'Industrie, du commerce, de l'économie verte et numérique, Moulay Hafid Elalamy, le président de la CGEM, Chakib Alj et le président de la FMIIP, Ali Sedrati, cette convention répond à l'objectif d'améliorer la formation professionnelle axée sur les métiers de l'industrie pharmaceutique tout en rapprochant l'offre de formation des besoins en compétences du secteur.
"La mise en place de cet institut va renforcer le dispositif des établissements de nouvelle génération, déjà mis en place dans le cadre du partenariat public-privé dans les secteurs à forte valeur ajoutée, tels que l'aéronautique, l'automobile, le textile habillement et les énergies renouvelables, et qui ont montré leur efficacité en matière de l'adéquation formation emploi", a affirmé M. Amzazi lors de la cérémonie de signature de ladite convention cadre.
De son côté, M. Elalamy a fait savoir que ce partenariat porte sur la réalisation d'un projet fort important visant la formation des jeunes désirant faire carrière dans l'industrie pharmaceutique. "C'est un secteur prometteur qui regorge de débouchés, grâce au savoir-faire de nos entreprises, à la qualité de la production nationale et à la proximité avec les marchés potentiels", a-t-il noté.
Pour sa part, M. Alj a indiqué que la signature de cette convention est une action concrète qui s'inscrit dans la vision de SM le Roi Mohammed VI concernant la protection sociale. En effet, a-t-il soutenu, ce nouvel institut contribuera, notamment à la consolidation des compétences médicales pour répondre à une demande, qui augmentera à un rythme rapide avec la mise en œuvre de ce chantier social et sociétal d'envergure. Il permettra aussi de former en adéquation avec les besoins de ce secteur vital et d'avoir les compétences nécessaires pour qu'il puisse encore mieux s'exporter vers d'autres pays, a ajouté le président du Patronat.